Traque de Charles Keziah sur le sol calphéen

[A noter: aucune déclaration officielle et aucun ordre de levée de la traque et de la vigilance ne sont encore envoyés aux officiers des différents ordre, la lettre ci dessus étant uniquement adressée à la Valkyrie Cérès. Les officiers supérieurs de Trina sont néanmoins bien entendu mis au courant du contenu de cet échange, donc les joueurs des forces de l'ordre peuvent être au courant.]

Un lettre écrite de la main de la Valkyrie Cérès parviendra le 20 Marteau 286 en main de la Valkyrie Di Castelli.

Le 30 eme jour du mois de Marteau, Charles Keziah a été libéré de la cellule XXXI, la République de Calphéon ayant décidé, d'entendre sa demande de pardon quant à ses actes. Après avoir subit l'humiliation de devoir s'incliner devant la suprématie du pouvoir Calphéen, dans la salle communale de justice du quartier de la rue des marchands, Charles a signé les document reconnaissant ses fautes et demandant la clémence de la République. Le document, a été ensuite transféré dans les archives de Trina. Entre autre signature des dignitaires ayant participé à la soumission de Charles Keziah, se trouve un chevalier de Delphe, Onofrio Cortesi, Un chevalier de Trina, Giovanni Di Castelli, une valkyrie, Lucia Di castelli et un soldat de Serendia, Leckard Eisenhorne.

Ce document stipule également le paiement immédiat auprès de Calphéon de ses frais de détention, de transfert et de traque ainsi que les préjudices de la République ayant été estimés à 20 millions de pièces d'argent. Ayant été dans l'incapacité de payer sur le champs, Charles a été contraint de signer un emprunt auprès de la banque de Xian, une façon pour celle ci de s'assurer à l'avenir par des taux d'intérêts modulable, un contrôle strict des activités de Charles Keziah en territoire serendien, empochant au passage le bénéfice net de toute cette affaire.

Une copie des aveux aura été envoyé à la justice serendienne, une façon innocente de rappeler au grand Chambellant Jordine et ses sbires, que Calphéon obtient toujours, tôt ou tard ce qu'elle désire.